Newsletter

Newsletter Octobre 2016

 

Lettre d’information, Octobre 2016
Moi(s) sans tabac
Le site Tabac Info Service met en place l’opération « Moi(s) sans tabac » qui propose à tous les fumeurs d’arrêter de fumer pendant le mois de Novembre avec le soutien de leurs proches. Pourquoi un mois ? Car au delà d’un mois d’arrêt, les chances d’arrêter définitivement sont multipliées par 5.
Pour ceux qui souhaitent arrêter la cigarette mais qui ont peur de ne pas y arriver seul ou qui craignent de compenser l’absence de tabac par la nourriture ou d’autres substituts, je vous propose mon programme « Stop la clope » à prix préférentiel durant le mois de Novembre.
Le programme « Stop la clope », c’est :
  • Un programme sur mesure adapté à votre cas personnel.
  • Une séance de 2 heures de FasterEFT pour analyser votre tabagisme et supprimer votre attachement émotionnel à la cigarette (les déclencheurs qui vous incitent à fumer).
  • 2 séances de suivi (1 heure chacune) afin de vous accompagner et gérer vos difficultés éventuelles.
  • Un support téléphonique pendant une période d’un mois.
Retrouvez plus d’informations sur mon programme « Stop la clope » ici :
http://www.philippewozniak.com/mois-sans-tabac/
Gestion du stress en entreprise
Le stress est un problème majeur en entreprise, non seulement parce qu’il freine la créativité et l’inovation, mais également parce qu’il fait baisser la productivité, augmente l’absentéisme et peut mener jusqu’au burnout voire à une issue fatale.
Je propose désormais des solutions sur mesure aux entreprises de toutes tailles (des TPE/PME aux multinationales) pour les aider à :
  • Apprendre aux dirigeants/employés à gérer le stress
  • Réduire l’absentéisme
  • limiter le turn-over
  • Augmenter la productivité
  • Accompagner les changements
  • Améliorer les relations entre les collaborateurs
  • Augmenter la créativité et l’innovation
Retrouvez plus d’informations sur www.philippewozniak.com/entreprises
Citation du mois
« Je ne regrette rien dans ma vie à l’exception de ce que je n’ai pas fait »
– Coco Chanel –
 
Il y a quelques années, Bronnie Ware, une infirmière australienne, a commencé à questionner des patients en fin de vie notamment sur les regrets qu’ils avaient par rapport à la vie qu’ils ont vévu.
Elle a ensuite synthétisé les réponses qu’elle a obtenues dans un livre paru en 2011 et intitulé « The top five regrets of the dying » (les 5 plus grands regrets des mourants).
Voici le classement des 5 réponses les plus fréquentes :
5. «J’aurais aimé m’autoriser à être plus heureux»
4. «Je regrette de n’être pas resté en contact avec mes amis»

3. «J’aurais voulu avoir le courage d’exprimer mes sentiments»

2. «Je regrette d’avoir travaillé si dur»
Et le regret qui revenait le plus souvent :
1. «J’aurais aimé avoir le courage de vivre comme je voulais, et pas de vivre la vie qu’on attendait de moi»
Cette liste m’a fait réfléchir sur les regrets que je peux avoir par rapport à ma vie et je remarque que mes regrets portent principalement sur des choses que je n’ai pas faites, notamment par peur ou par timidité plutôt que sur des choses que j’aurais pu faire et que j’aurais regretté après coup.
Ce qui est intéressant avec cette réflexion, c’est qu’à la différence des patients de Bronnie Ware qui savaient être en fin de vie, nous avons (en tout cas j’ose espérer) du temps devant nous. Il est donc encore possible de corriger le tir, de vivre ses rêves.
En ce qui me concerne, j’ai déjà commencé.
Et vous? Quels sont vos plus grands regrets par rapport à la vie que vous avez déjà vécu ? partagez-vous certains des 5 regrets cités plus haut ? Regrettez-vous plutôt des choses que vous avez faites ou des choses que vous n’avez pas faites?
Prenez un peu de temps pour faire cette introspection et ensuite, agissez en conséquence… N’attendez pas la fin de votre vie pour regretter les choses que vous auriez pu faire…
Je finirai par une phrase issue du film « Le cercle des poêtes disparus » :
 
« Je partis dans les bois car je voulais vivre sans me hâter, vivre intensément et sucer toute la moelle secrète de la vie. Je voulais chasser tout ce qui dénaturait la vie, pour ne pas, au soir de la vieillesse, découvrir que je n’avais pas vécu.« 
Suivez moi sur les réseaux sociaux…
Philippe Wozniak Accompagnement, 9 Avenue d’Italie – 68110 Illzach 07.82.20.37.36 | contact@philippewozniak.com | www.philippewozniak.com

 

Newsletter Août 2016

 

Lettre d’information, Août 2016
Vidéo : LA cause du stress
Bonjour,
Pour commencer cette newsletter, voici ma deuxième vidéo qui parle encore une fois du stress, mais cette fois-ci, plus particulièrement de LA cause du stress.
Vous avez aimé cette vidéo ? Vous pensez qu’elle peut inspirer vos amis? Alors mettez un « j’aime » et partagez-la.
Vous pouvez égaleent laisser vos remarques ou vos questions dans les commentaires sous la vidéo.
Si vous avez raté ma première vidéo, vous pouvez la retrouver ici : La métaphore du verre d’eau
Citation du mois
« Attends que le calme soit revenu et tu sauras ce qu’il faut faire. »
Lorsque certains événements viennent bouleverser notre vie et que nous sommes amenés à prendre des décisions par rapport à ces événements, il arrive souvent que nous ne sachions pas quoi faire, que nous nous sentions perdus et même que nous prenions des décisions que nous regrettons par la suite tant elles nous semblent stupide ou inadaptées après coup.
Cela est vrai pour les émotions négatives, mais également pour les émotions positives. Qui n’a jamais vu un amoureux transi prendre des décisions parfois complètement aberrantes ? On dit bien que l’amour rend aveugle…
Voici ce qui se passe en nous à ce moment-là.
Lorsque nous sommes sous le coup d’une émotion ou d’un stress, notre cerveau met en place différents processus qui vont lui permettre de gérer l’émotion ou le stress.
L’un de ces processus concerne le cerveau limbique (considéré comme le siège des émotions). Celui-ci interrompt l’activité du néocortex (considéré comme le siège du raisonnement) pour se focaliser sur la priorité de la gestion de l’émotion.
A partir de ce moment-là, tout raisonnement ou toute analyse logique et globale d’une situation sont physiologiquement impossibles.
Les informations dont dispose le cerveau limbique à ce moment-là sont limitées. C’est un peu comme s’il ne voyait qu’une seule pièce d’un puzzle au lieu de voir l’image complète. Nos décisions reposent alors principalement sur les programmes inconscients et les automatismes que nous avons appris tout au long de notre vie.
C’est pour cette raison que dans certaines professions stressantes ou à risque, le personnel répète sans cesse les mêmes exercices, les mêmes simulations, les êmes situations afin que les bonnes décisions soient enregistrées comme des automatismes dans notre inconscient et qu’elles puissent être utilisées spontanément même en état de stress.
Mais à la différence de ces professionnels, nous ne sommes pas entrainés à réagir aux différents événements imprévus de la vie. Que faire alors pour prendre de « bonnes » décision lorsque ces événements surviennent ?
Il n’y a qu’une seule chose à faire : Il faut tout d’abord sortir de cet état émotionnel.
Pour y arriver, certaines personnes s’isolent un moment, vont faire une marche dans la nature, méditent, vont faire du sport, vont au cinéma, etc…
Chacune de ces solutions permet de sortir temporairement de l’état de stress, ce qui nous laisse le temps de réfléchir à la bonne décision à prendre.
Personnellement, j’utilise souvent le FasterEFT. Grâce à cette technique, il est non seulement possible de se libérer de manière simple et rapide du stress ou des émotions désagréables, mais en plus ces changements sont pérennes dans le temps car ils sont inscrits dans notre inconscient, comme si on réécrivait nos programmes internes.
Si vous aussi, il vous arrive de vous sentir perdu face à une situation stressante et que vous avez peur de prendre une mauvaise décision, prenez du recul, faites en sorte de voir l’image complète et non pas une seule pièce du puzzle.
Attendez que le calme soit revenu et vous saurez ce qu’il faut faire.
 
Et si vous avez du mal à y arriver seul, je suis là pour vous y aider.
Suivez moi sur les réseaux sociaux…
Philippe Wozniak Accompagnement, 9 Avenue d’Italie – 68110 Illzach 07.82.20.37.36 | contact@philippewozniak.com | www.philippewozniak.com

 

Newsletter Juillet 2016

 

Lettre d’information, Juillet 2016
Vidéo : La métaphore du verre d’eau
Bonjour,
Cela faisait quelques temps que j’avais le projet de partager avec vous des idées sous forme de vidéos. Eh bien ça y est, je me suis lancé…
Voici ma première vidéo intitulée « La métaphore du verre d’eau » :
Si vous avez aimé cette vidéo et que vous pensez qu’elle peut inspirer vos amis, n’hésitez pas mettre un « j’aime » ou à la partager.
Si vous avez des remarques ou des questions, il vous suffit de les laisser dans les commentaires sous la vidéo.
Citation du mois
« Le bateau est en sécurité dans le port. Mais ce n’est pas pour cela que les bateaux ont été construits. »
– Paulo Coelho –
Certaines personnes ont besoin de maîtriser tous les aspects de leur vie. Pour eux, pas de place pour l’imprévu, ou pour l’inconnu. ils se sentent rassurés dans leur train-train quotidien. Ils se crééent une zone de confort de laquelle ils ne sortent que très peu, voire même jamais.
Si cette « bulle » de protection peut leur paraître bénéfique, en réalité elle créé en eux des croyances limitantes, des barrières mentales qui limitent leur champ des possibles. De manière inconsciente, ils réduisent l’infinité de possiblitiés à leur disposition à seulement quelques-unes qu’ils perçoivent comme sécuritaires.
En sortant de sa zone de confort, on se dépasse, on évolue, on grandit, on est plus libre.
A la lecture de cette phrase, j’entends déjà certaines personnes se dire : Mais c’est risqué de changer sa façon de faire, d’aller dans cet inconnu…
Cette réaction est tout à fait normale dans leur schéma de pensées. Elle est simplement liée aux croyances limitantes développées par la peur. Cette peur qui à la base est là pour nous protéger mais qui peut parfois prendre une importance exagérée ou des formes totalement irrationnelles comme par exemple dans le cas des phobies.
On le voit également avec les événements tragiques qui sont survenus récemment. De plus en plus de gens ont peur de sortir de chez eux, peur d’aller dans des lieux publics, car ils craignent d’être victime d’un attentat. Pourant, dans l’absolu, le risque de mourrir dans un attentat est nettement plus faible que celui de mourrir accidentellement chez soi (chaque année, 12000 décès sont liés à des accidents domestiques).
Il faut se libérer de la peur car là où la peur est absente, le risque n’existe pas.
Bien entendu, se libérer de la peur ne rend pas idiot, on reste conscient des réels dangers… Par exemple, une personne aquaphobe qui se libère de sa peur de l’eau ne va pas se jeter à l’eau si elle sait qu’elle ne sait pas nager…
Tout comme le bateau, vous n’êtes pas faits pour rester au port… Vous êtes faits pour naviguer, pour explorer le monde, pour découvrir de nouveaux horizons. Alors libérez-vous de vos peurs et quittez le port. Vous découvrirez que le monde est magnifique et que ça vaut vraiement la peine de larguer les amarres.
Témoignage
De nombreux étudiants ressentent du stress lié à leurs études ou à leurs examens. Lorsque le stress est ponctuel, il peut être un positif car il booste temporairement nos capacités physiques ou mentales. Mais s’il s’installe dans la durée, il devient contre-productif car en devenant chronique, le stress perturbe (voire inhibe) nos capacités d’apprentissage et de restitution, ce qui engendre des difficultés de mémorisation lors des révisions ou même expliquer le syndrôme de la page blanche pendant un examen.
Se libérer du stress est donc important pour aborder les études et les examens de manière sereine.
C’est ce que Célia a choisi de faire en utilisant le FasterEFT.
Retrouvez son témoignage ici :
Je rappelle également que les étudiants bénéficient d’un tarif préférentiel (20% de remise) sur les séances de FasterEFT que je propose.
Suivez moi sur les réseaux sociaux…
Philippe Wozniak Accompagnement, 9 Avenue d’Italie – 68110 Illzach 07.82.20.37.36 | contact@philippewozniak.com | www.philippewozniak.com

 

Newsletter Mai 2016

 

Lettre d’information, Mai 2016
Pas de nouvelles, bonnes nouvelles…
Bonjour,
Comme vous le constaterez, peu d’actialités ce mois-ci en ce qui me concerne… Mais cela ne veut pas dire que je ne fais rien. Au contraire, je suis en train de vous préparer des nouveautés que je devrais pouvoir vous annoncer dans ma prochaine newsletter.
A très bientôt
Philippe
Citation du mois
« Le malheur de l’avoir perdu, ne doit pas nous faire oublier, le bonheur de l’avoir connu. »
– Anonyme –
Notre vie sur cette terre est limitée dans le temps et la mort fait malheureusement partie du cycle de la vie. Nous sommes donc tous, tôt ou tard, confrontés à la disparition de personnes qui nous sont chères.
La perte d’un proche est souvent ressentie comme un choc, ce qui déclenche en nous différentes réactions émotionnelles tout à fait naturelles. Il n’est pas rare de ressentir de la tristesse, de la colère, de l’incompréhension, de l’injustice ou même de la peur.
Ces émotions que l’on considère souvent comme « négatives » prennent parfois le dessus sur des émotions plus « positives » au point de parfois totalement les éclipser en modifiant l’empreinte primaire liée au souvenir de cette personne, c’est à dire le premier souvenir ou la première émotion qui nous vient spontanément lorsqu’on pense à elle.
C’est le cas si par exemple, lorsqu’on pense à la personne disparue, on ressent spontanément de la tristesse en revoyant son image sur le lit d’hôpital et que cette image nous empêche de nous souvenir de tous les bons moments, de toutes les années de bonheur partagées.
Pour certaines personnes, la tristesse ou le chagrin doivent être à la hauteur de l’amour qu’ils portent au disparu : « Si je ne suis pas triste, ça veut dire que je ne l’aimais pas ». Je pense au contraire que la plus belle preuve d’amour envers une personne disparue est de l’honorer en se libérant de ces émotions négatives, de faire la paix intérieure avec cette personne et avec soi-même et de ne garder que les bons souvenirs partagés pour en faire une nouvelle empreinte primaire et de s’en servir comme souvenir ressource. Après tout, n’est-ce pas ce que cette personne aurait voulu ?
À la question « Combien de temps devrait-on être triste ? », Robert G. Smith, créateur du FasterEFT répond : « Aussi longtemps que vous voudriez qu’un petit enfant soit triste ».
Garder toutes ces émotions négatives trop longtemps est non seulement mauvais pour la santé émotionnelle, mais cela peut même avoir un impact sur la santé physique. Des personnes sont déjà venues me consulter avec des problèmes de sommeil ou certaines douleurs chroniques. Pendant les séances, nous avons découvert que ces problèmes avaient débuté à la suite du décès d’un proche dont ils n’avaient pas totalement fait le deuil (ces événements pouvaient remonter à plusieurs années, voire dizaines d’années).
Le travail en séance leur a permis de faire la paix avec le défunt ainsi qu’avec eux-mêmes. Ensuite, très rapidement, les symptômes avaient disparu naturellement.
Le FasterEFT peut donc être un allié dans ce processus de deuil difficile en aidant à se libérer des émotions négatives et à retrouver la paix intérieure.
Alors, et vous ? Etes-vous en paix avec vos proches qui sont partis ?
Témoignage
Perdre un être cher est parfois une épreuve difficile. Dans certains cas, un accompagnement peut être nécessaire.
Corinne a testé le FasterEFT pour surmonter le deuil de son mari. Découvrez son témoignage:
Suivez moi sur les réseaux sociaux…
Philippe Wozniak Accompagnement, 9 Avenue d’Italie – 68110 Illzach 07.82.20.37.36 | contact@philippewozniak.com | www.philippewozniak.com

 

Newsletter Avril 2016

 

Lettre d’information, Avril 2016
Ateliers « Les clés de la confiance en soi »
Il reste des places à l’atelier « les clés de la confiance en soi ».
Cet atelier s’adresse non seulement aux personnes touchées par le manque de confiance en soi, la timidité ou les complexes, mais également aux personnes curieuses de découvrir une technique novatrice de gestion des émotions utilisable dans de nombreuses situations de la vie courante.
N’hésitez donc pas à en parler autour de vous, ça peut intéresser vos proches…
Cet atelier vous permet :
  • De découvrir ce qui cause le manque de confiance en soi, la timidité et les complexes.
  • De comprendre quels sont les processus qui se mettent en action dans le cerveau et le corps.
  • D’obtenir des outils simples qui vous permettront de créer des changements rapides et profonds.
  • De travailler sur vous-même grâce à des exercices pratiques adaptés.
  • De repartir avec des techniques dont vous pourrez vous servir dans différentes situations de votre vie.
Deux sessions sont proposées sous 2 formes différentes :
  • Un atelier de 4 heures le Samedi 7 mai de 14h00 à 18h00
  • Un atelier en 2 parties de 2 heures chacune le Mardi 26 avril (de 20h00 à 22h00) et le Mardi 3 mai (de 20h00 à 22h00) pour ceux d’entre vous qui préfèrent en semaine.
Complément d’informations et inscriptions sur mon site web :
Salon du bien-être de Seppois-le-Bas
Je serai présent au salon du bien être et de l’épanouissement qui aura lieu les 30 avril et 1er mai à la salle polyvalente de Seppois-le-bas.
Sur place, retrouvez de nombreux exposants professionnels qui vous accueilleront pour vous faire découvrir leurs univers respectifs avec des conseils et des démonstrations…. (massages, maquillage, soin du corps, compléments alimentaires, reiki, sophrologie, bijoux, lingerie, prêt à porter, shiatsu, thérapeute, massages canins, etc…)
Vous pourrez faire une bonne action en participant à une tombola au profit d’une oeuvre caritative. De nombreux lots sont à gagner dont des séances gratuites que je mets en jeu.
Découvrez également le défilé de lingerie qui se déroulera samedi et dimanche à 15 heures.
Horaires :
  • samedi 30 avril 2016 de 14h à 20h
  • dimanche 1er mai 2016 de 11h à 18h
L’entrée est gratuite et une restauration est prévue sur place.
Pour plus d’informations, cliquez ici
Citation du mois

« J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé.«  – Voltaire

 

Nous éprouvons normalement tous des émotions, hormis peut-être de rares personnes présentant certaines pathologies.
Lorsque vous ressentez telle ou telle émotion, vous êtes-vous déjà demandé « comment vous savez » que vous la ressentez ? Comment savez-vous que vous êtes heureux, triste, en colère ou joyeux?

 

Boule au ventre, fardeau sur les épaules, peau qui devient rouge écarlate, papillons dans le ventre, sont quelques-unes des manifestations physiques qui accompagnent nos émotions.
 

Je vous propose un exercice rapide… Prenez deux minutes, fermez les yeux et retournez dans un souvenir qui vous rend heureux ou qui vous fâche et focalisez-vous sur votre ressenti corporel… Que ressentez-vous ?

Même si on n’en prend pas toujours conscience, tous nos organes, nos muscles ou notre peau peuvent participer à ces sensations émotionnelles. C’est d’ailleurs notre corps qui permet de créer cette sensation de « réalité » pour des émotions qui ne sont, à l’origine, que des pensées immatérielles.
Mais alors, qu’est-ce qui se passe dans le corps ? Lorsque nous ressentons des émotions positives, notre cerveau envoie, par différents canaux, des stimuli de détente à certaines parties de notre corps. A l’inverse, lorsque nos émotions sont négatives, ce sont des stimuli de stress qui sont envoyés.
De nombreuses études scientifiques ont déjà démontré que le stress modifie les métabolismes ainsi que toute la « chimie » du corps et que ces modifications, si elles perdurent trop dans le temps (en cas de stress chronique), ont un impact non négligeable sur notre santé et notre espérence de vie. Une étude publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences en 2004 a même démontré que le stress chronique fait vieillir prématurément de 10 ans.
A l’inverse, de nombreuses études ont également démontré que le fait d’être heureux permet de vivre plus longtemps et en meilleure santé. Une synthèse de 160 études a d’ailleurs été publiée en 2011 dans la revue Applied Psychology : Health and well-being. Parmi elles, notons par exemple une étude publiée en 2006 qui a suivi 4989 étudiants pendant 40 ans (1964-2004) et qui démontre que ceux qui étaient les plus pessimistes ont eu tendance à mourir plus jeunes que leurs pairs optimistes.
Une autre étude, réalisée auprès de 29173 jumeaux finlandais âgés de 18 à 54 ans, a montré que les plus heureux dans leur vie avaient moins d’accidents, moins de handicaps et moins de troubles mentaux sévères, indépendamment de leur état de santé général.
Toutes ces études tendent donc à démontrer que non seulement le bonheur allonge la durée de vie, mais également qu’il est associé à une diminution des problèmes de santé.
Ce que Voltaire pensait il y a 3 siècles est donc maintenant confirmé par la science.
Alors… Don’t worry, be happy !
Source : « Happy People Live Longer: Subjective Well-Being Contributes to Health and Longevity », Ed Diener et Micaela Y. Chan, Applied Psychology : Health and well-being, 27 janvier 2011, étude accessible en ligne
Suivez moi sur les réseaux sociaux…
Philippe Wozniak Accompagnement, 9 Avenue d’Italie – 68110 Illzach 07.82.20.37.36 | contact@philippewozniak.com | www.philippewozniak.com

 

Newsletter Mars 2016

Lettre d’information, Mars 2016
Ateliers « Les clés de la confiance en soi »
Voilà, les inscriptions pour mes premiers ateliers « les clés de la confiance en soi » sont ouvertes.
  • Vous manquez de confiance en vous ?
  • Vous avez peur du jugement des autres, de ce qu’ils peuvent penser de vous ?
  • Vous êtes angoissé dans certaines situations alors que d’autres personnes sont à l’aise ?
  • Vous arrivez à vous énerver vous-même par vos réactions que vous ne contrôlez pas ?
  • Vous souffrez d’un complexe physique ou psychologique ?
Si vous vous sentez concerné par au moins l’un des points ci-dessus, alors cet atelier est fait pour vous.
Voici ce que je propose aux personnes qui s’inscrivent à cet atelier :
  • Découvrez ce qui cause le manque de confiance en soi, la timidité et les complexes.
  • Comprenez quels sont les processus qui se mettent en action dans le cerveau et le corps pour créer ces sensations.
  • Apprenez des outils simples qui vous permettront de créer des changements rapides et profonds.
  • Travaillez sur vous-même grâce à des exercices pratiques adaptés.
  • Repartez avec des techniques qui pourront vous servir dans différentes situations de votre vie.
Pour l’instant, seules deux sessions sont proposées sous 2 formes différentes :
  • Un atelier de 4 heures d’affilée le Samedi 7 mai de 14h00 à 18h00
  • Un atelier en 2 parties de 2 heures chacune le Mardi 26 avril (de 20h00 à 22h00) et le Mardi 3 mai (de 20h00 à 22h00) pour ceux d’entre vous qui souhaitent être tranquille le week-end.
Complément d’informations et inscriptions sur mon site web :
Citation du mois
« Pardonnez aux autres, non pas parce qu’ils méritent le pardon, mais parce que vous méritez la paix de l’esprit »
La définition du mot « Pardonner » est : Ne plus tenir rigueur à quelqu’un pour un acte qu’il a commis.
Lorsqu’une personne nous blesse, il peut arriver que nous ayons du mal à pardonner parce qu’on estime que cette personne ne mérite pas le pardon. On pense peut-être que le fait de ne pas lui pardonner va la faire souffrir autant que nous avons souffert… Mais c’est faux… Parfois que la personne qui nous a fait du mal n’a même pas conscience de nous avoir blessé. Pire, il peut nous arriver de continuer à en vouloir à cette personne même longtemps après sa mort.
Qui souffre réellement de l’absence de pardon ?
Nos comportements et nos émotions sont basés, à un niveau inconscient, sur la perception que nous avons du monde qui nous entoure. Cette perception est liée aux souvenirs et aux émotions que l’on garde de toutes nos expériences de vie.
Le fait de garder en soi des émotions négatives telles que la colère, la rancoeur, ou un sentiment de trahison influance donc négativement nos comportements au quotidien. De plus, le fait de ressasser en boucle les mêmes pensées négatives ne fait qu’augmenter notre capacité à nous sentir mal et peut même à la longue avoir un impact sur notre sante. C’est donc nous-mêmes qui souffrons le plus de l’absence de pardon.

Le pardon, c’est quoi ?
Techniquement, pardonner, c’est se libérer des émotions négatives associées à un événement qui nous a fait souffrir. Pour cela, on peut soit laisser faire le temps, mais ça peut prendre plus ou moins longtemps, soit utiliser une technique de gestion des émotions telle que le FasterEFT qui permet de transformer notre perception du passé.
Bien entendu, pardonner ne change pas le passé. Ce qui est arrivé est arrivé. Mais en changeant notre perception de ce qui est arrivé, on devient plus libre et on fait un pas vers la paix intérieure.
Alors ne restez pas bloqués dans un passé qui vous tire vers le bas. Lâchez les casseroles que vous traînez derrière vous… Pardonnez à ceux qui vous ont fait souffrir, c’est un cadeau inestimable que vous vous faites à vous-même.
Suivez moi sur les réseaux sociaux…
Philippe Wozniak Accompagnement, 9 Avenue d’Italie – 68110 Illzach 07.82.20.37.36 | contact@philippewozniak.com | www.philippewozniak.com

Newsletter Février 2016

 

Lettre d’information, Février 2016
Ateliers thématiques
Merci à toutes les personnes qui ont pris le temps de répondre au questionnaire qui figurait dans ma newsletter précédente. Vos réponses m’ont permis de mieux cerner vos attentes.
Les 3 thèmes principaux qui sont ressortis de ce questionnaire sont :
1- Manque de confiance en soi/timidité
2- Gestion du stress
3- Perte de poids
Je suis donc actuellement en train de préparer des ateliers sur ces 3 thèmes.
Ces ateliers auront lieu dans un premier temps dans la région de Mulhouse. Mais si vous voulez que j’organise des ateliers dans votre région, faites-le moi savoir.
Parce que je pense qu’il est important de comprendre les mécanismes internes qui participent à la création de ces difficultés, mes ateliers débuteront par une partie théorique que je vais rendre la plus dynamique et la moins barbante possible. Viendra ensuite la partie pratique pendant laquelle les participants pourront travailler sur eux-mêmes à l’aide des outils simples que je leur donnerai.
Plus de précisions sur les dates, thèmes et lieux vous seront données prochainement.
Article : Que se passe-t-il dans votre cerveau lorsque vous utilisez le FasterEFT ?
Voici la traduction française d’un article paru sur le site FasterEFT.com
Lorsque vous utilisez le processus FasterEFT, les effets ne sont pas uniquement «dans votre esprit». Des changements physiques se produisent dans votre cerveau lorsque vous utilisez cette technique. Cela change littéralement la structure du néocortex de votre cerveau parce que des vieilles connexions sont remplacées par des nouvelles.
Lorsque vous utilisez la technique FasterEFT de manière régulière, vous changez les connexions neuronales dans le cerveau, ce qui se traduit par un changement automatique de votre manière de penser. Et penser différemment va naturellement…
Citation du mois
« S’inquiéter, c’est utiliser son imagination pour créer quelque chose que l’on ne veut pas » -Abraham Hicks-
Comme l’explique l’article ci-dessus, le fait de ressasser une pensée modifie la structure interne de notre cerveau afin de faciliter la création de cette pensée de manière « automatique » (processus d’apprentissage) et ceci, indépendamment du fait que la pensée soit positive ou négative…
Eric Kandel, chercheur en neurosciences, a d’ailleurs démontré que le fait de ressasser une pensée pendant une heure double les connexions neuronales qui alimentent cette pensée.
Lorsqu’on est inquiet, nous avons naturellement tendance à créer mentalement toutes sortes de scénarios plus pessimistes les uns que les autres, voire même parfois des histoires complètement surréalistes… (le pouvoir de l’imagination)
Par exemple, Lorsqu’un proche est en retard et que vous êtes sans nouvelles, n’avez-vous jamais pensé « Il/elle a dû avoir un accident », « il/elle est peut-être à l’hôpital », « il/elle est avec un(e) autre » ou même « il/elle a peut-être été enlevé »…
Bien entendu, ces pensées ne correspondent pas du tout à ce que l’on souhaite. Mais le fait de les ressasser encore et encore ne fait que les inscrire plus profondément dans le cerveau, ce qui leur donne une plus grande réalité à nos yeux.
Alors, cessez de vous inquiéter inutilement. Laissez partir le négatif et focalisez-vous sur le positif afin que celui-ci devienne, à la longue, votre réalité.
Le FasterEFT est l’une des techniques simples et rapides qui vous permettent d’atteindre ce but.
Témoignages : Arrêt du tabac
J’ai récemment reçu sur mon site les témoignages de deux clients avec qui j’ai travaillé sur l’arrêt du tabac.

 

Les séances avec ces 2 clients ont eu lieu respectivement il y a 2 et 3 mois et à ce jour ils sont toujours heureux dans leur vie 100% « non fumeur » sans sensation de manque ou d’envie de fumer, même lorsqu’ils sont entourés de fumeurs !
 

Pour ces deux clients très motivés, une seule séance a été suffisante pour qu’ils arrêtent immédiatement et totalement de fumer. Toutefois, chaque personne étant différente, selon la motivation ou l’historique tabagique, plusieurs séances peuvent être nécessaires.

Retrouvez leurs témoignages ici :
Si vous aussi vous souhaitez arrêter de fumer, faites comme eux et contactez-moi.
Suivez moi sur les réseaux sociaux…
Philippe Wozniak Accompagnement, 9 Avenue d’Italie – 68110 Illzach 07.82.20.37.36 | contact@philippewozniak.com | www.philippewozniak.com